Saturday, July 17, 2010

La notation à SUPINFO et comment gagner des points

La notation à SUPINFO et comment gagner des points



Nous avons été interpelés par un blog lancé par des étudiants SUPINFO dont la volonté est de contrebalancer les blogs qu'il estiment "ternissent l'image de l'école".

Nous sommes bien entendu visés puisque notre blog a une certaines renommée et portée jusqu'à dans la presse française et des journalistes avec qui nous avons eu des contacts, mais également les parlementaires français qui nous ont cité à plusieurs reprises. (Voir les lettres des députés interpellant la minsitre Pécresse sur les dérives de SUPINFOconsultable ici et aussi ici).

Notre succès à suscité la jalousie et la frustration de certains, dont l'administrateur d'un forum connu pour ses positions pro-SUPINFO et de lynchage des personnes osant critiquer l'école. Voir ici: Jusqu'où certains étudiants SUPINFO peuvent aller pour défendre leur école. Cette personne n'hésite pas à user de méthodes malhonnêtes pour tenter de contre balancer l'influence de notre blog.

Revenons en à notre sujet et à l'essentiel.

Voila ce qu'un étudiant a posté recemment pour répondre à la question: Comment se passe la notation pour la participation à la vie de l'école ? (Article consultable ici).

Cet étudiant après avoir énuméré toutes les bonnes raisons de comment on peux gagner des points de participation comptabilisé dans la moyenne, comme par exemple:

- participer à des salons pour faire la promotion de SUPINFO,
- aller faire la promotion de SUPINFO dans son ancien lycée,
- participer à des cours fictifs à l'école lors des JPO,
etc...

Il affirme:

"Il est possible qu'il y ait d'autres façons d'obtenir des points mais sur le Campus Océan Indien je n'en ai pas eu vent. "

Il se contredit pourtant à la ligne suivante:

"Il y a encore quelques jours, je pouvais lire sur le net qu'on obtenait son diplôme en faisant du jardinage, c'est scandaleux de lire ce genre de choses ! Peut-être que le jardinage entre dans la participation à la vie de l'école, mais comme vous l'avez bien compris se baser uniquement les points de participation à la vie de l'école pour avoir son diplôme c'est plutôt mal parti…."

En clair cet étudiant reconnait que les étudiants SUPINFO peuvent gagner des points en faisant du jardinage. Ce fait a été confirmé par plusieurs témoignages.

Mais cela ne sert à rien de faire la naif pour faire croire que cela n'existe pas. Oui cela existe. On peux gagner des points en faisant du jardinage pour le compte de SUPINFO. Cela ne suffit bien entendu pas pour décrocher son diplôme.

Donc la question est: est-ce normal?

Est-ce normal que SUPINFO profite de ses étudiants pour faire du jardinage en échange de points qui comptent dans la moyenne?

Nous estimons que les étudiants SUPINFO, qui paient plus de 5000 euros pour leur année, n'ont pas à faire le ménage à l'école, ou du jardinage, en échange de points. Et Alick Mouriesse ne doit aucunement tenter d'exploiter les étudiants de SUPINFO, pour faire des économies (sur des tâches qui doivent être effectuées par des salariés et non pas des étudiants).

De plus nous ne pouvons que dénoncer les blog artificiels créée dans le seul but de tenter de faire de la bonne publicité à l'école, tentant de cacher les problèmes rééls aux futurs étudiants et à leurs parents, et tentant de montrer une image idylique et illusoire de l'école.

Source: SUPINFO Watching blog

Wednesday, July 14, 2010

Appel à l'aide d'une maman d'un étudiant de SUPINFO Londres

Nous avons décidé de publier le témoignage et appel d'aide de cette maman d'un étudiant de SUPINFO Londres.

Le campus de Londres a été expulsé il y a à peine quelque semaines, et tous ses étudiants SUPINFO se sont retrouvé du jour au lendemain sans locaux. Ajouté à cela de très nombreux dysfonctionnement très graves ont eu lieu dans ce campus d'après plusieurs témoignages: absence de cours, absence de formateurs, coupures d'eau etc...

[Début de la lettre]

Bonjour

Je me présente avant de m'adresser à vous, je suis Mme RUTH, mère de Pablo RUTH, élève de B3 à Londres en 2009/2010.

En tant que parente d'élève, j'ai suivi le déroulement de l'année avec beaucoup d'attention. Dès la rentrée, des difficultés se sont senties car il a fallu 3 semaines avant que les cours commencent.

Dès le 24 novembre, j'ai eu des contacts avec la direction de SUPINFO sur les difficultés rencontrées, échanges qui ont duré toute l'année. Ce n'était malheureusement qu'un début, vous avez tous vécu une année plutôt pauvre en cours avec un manque d'enseignants significatifs des soucis de recrutement.

On ne peut pas vraiment dire que les choses se soient améliorées en cours d'année ! E tout ceci pour finir sans personnel d'entretien, sans assistante de direction, sans eau, sans locaux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Cette année n'est sûrement pas à la hauteur des 5000€ engagés par vos familles!!!!!

Comme vous le savez Pablo quitte SUPINFO, c'est effectivement un choix personnel.

Comme nous avions, 2 ans auparavant, confiance en SUPINFO, nous avions réglé les années de scolarité en avance, ce sont les 2 années à venir que nous venons de récupérer , grâce à un référé, dont on parle sur les différents sites.

Aujourd'hui, au vu de la situation et du comportement de la direction de SUPINFO, je suis à la recherche de témoignage d'élèves de Londres qui confirmeraient les circonstances dans lesquelles l'année scolaire s'est déroulée. Ces témoignages sont importants pour que l'année à venir ne soit pas aussi catastrophique que la précédente, pensez à ceux qui vont venir après vous !

Je pense que Pablo a essayé de vous représenter le mieux possible en tant que délégué, qu'il a donné de sa personne pour résoudre les problèmes. à la lecture de vos mails durant l'année, je ne suis pas certaines que vous y ayez tous trouvé votre compte!!!!

Je vous demande de nous aider aujourd'hui par vos témoignages expliquant les difficultés rencontrées. Il n'est en aucun cas, question d'attaquer James Guest, qui je pense à fait son possible pour faire tourner son école. Pensez à vos familles qui investissent beaucoup d'argent dans vos études et à ce que représente votre futur diplôme !!!!

Merci d'avance à ceux qui me répondront et feront avancer la situation.

Cordialement à tous

Mme RUTH

[Fin de la citation]

Articles liés:

- SUPINFO UK Londres expulsée de ses locaux
- Un étudiant de SUPINFO Londres témoigne

- Article de presse Ouest France: L'école d'informatique Supinfo critiquée


Source de cet article: SUPINFO Watching blog

Monday, July 12, 2010

Une député écrit à la Ministre Valérie Pécresse pour l'alerter sur les dérives de SUPINFO

Une député de la Loire-Atlantique et membre de la Commission des affaires culturelles et de l'éducation a écrit le 28 juin 2010 une lettre à la Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Valérie Pécresse pour l'interpeller sur les dysfonctionnement et anomalies graves à SUPINFO.

[Début de la lettre]

Marie - Odile BOUILLÉ
Députée de Loire-Atlantique
Membre de la Commission des
affaires culturelles et de l'éducation

Saint-Nazaire, le 28 juin 2010

Madame la Ministre,

Je tiens à vous alerter au sujet de l'école SUPINFO, spécialisée dans la formation d'ingénieur en informatique. Cette école revendique environ 7 000 élèves sur 10 campus dans le monde.

De nombreuses familles d'étudiants se mobilisent actuellement pour dénoncer les conditions d'enseignements et d'examens de cette école. Un étudiant de ma circonscription m'a informé de la réalité qui se cache derrière la communication bien rodée de SUPINFO qui facture l'année scolaire à hauteur de 5 000 euros.

Les griefs sont très nombreux et un blog créé par des étudiants, qui leur a permis ainsi qu'à leurs parents d'échanger sur les difficultés rencontrées et de partager leurs témoignages accablants, a été fermé par l'hébergeur. Vous trouverez en pièces jointes les pages imprimées de ce blog afin de corroborer les éléments de témoignages que j'ai recueillis.

Absences répétées de professeurs au point de n'avoir qu'une heure de cours par semaine au lieu de huit heures, écoles plus entretenues en raison de salaires non versés au personnel, coupure d'eau obligeant les étudiants à devoir aller aux toilettes dans les bars à proximité, locaux fermés pour absence de paiement de loyer (les cours et examens à Bordeaux se déroulent dans un hôtel). Les campus de Marseille, Nice, Lille, Strasbourg et Londres sont également concernés.

Le niveau de formation semble péricliter au point que d'autres écoles ou universités refusent catégoriquement tout étudiant de SUPINFO. Des témoignages attestent que des points de scolarité sont accordés aux élèves ayant rendu des services de jardinage, d'entretien... afin qu'ils obtiennent leur diplôme. La crédibilité de tous les étudiants est remise en cause par les pratiques peu orthodoxes de l'école. Ceux d'entre eux qui souhaitent le remboursement de leurs années payées d'avance doivent en passer par des procédures juridiques afin de faire pression sur la présidence de l'établissement qui cherche à étouffer les dysfonctionnements selon plusieurs témoignages.

SUPINFO revendique être reconnue et délivrer des diplômes certifiés par l'Etat. Au regard de votre légitimité et des multiples dysfonctionnements avérés, il me semblerait opportun que votre ministère enquête très sérieusement sur cette école dont un grand nombre d'étudiants pâtissent des insuffisances inacceptables.

Dans l'attente de vous lire, je vous prie de croire, Madame la Ministre, à l'expression de ma considération distinguée.


Madame Valérie PÉCRESSE
Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
21 rue Descartes
75005 PARIS

[Fin de la lettre]

Consulter la lettre ici: http://bit.ly/dzw97e
Source: SUPINFO Watching blog

Tuesday, June 29, 2010

SUPINFO rend les rapports de stage obligatoires et nous prévient à la dernière minute

Rapport de stage obligatoire à #Supinfo dès cet été !
Source

ahah On dois faire un rapport de stage obligatoire maintenant #SUPINFO
Source

Rapport de stage à #SUPINFO, bonne idée ! Prévenir à l'avance serait cool... J'ai dit à mon tuteur qu'il n'y en a pas...
Source

aime toujours autant les mails de SUPINFO qui à la toute dernière minute chamboulent un fonctionnement déjà acquis. "stabilité" qu'il disait
Source

premier mail d'alick mouriesse depuis un moment, et c'est pas pour annoncer que des bonnes nouvelles :< #supinfo
Source

"La rédaction d'un rapport de stage est de nouveau obligatoire". 6 moi san nouvel et c ca qu'il nous ecri?!Vraiment de pire en pire #Supinfo
Source

C'est parti pour les rapports de stage ! On va avoir un bon entraînement pour le mémoire comme ça :) #supinfo
Source

Le mot "stabilité" me fait marrer quand il est associé à SUPINFO :D
Source

#supinfo ou l'art de changer de consignes tout le temps au dernier moment
Source

on remet les rapports de stages et on les faits corriger par l'entreprise bah oui sinon ça ferai trop de correction pour #SUPINFO gg l'idée!
Source

bonjour messieurs les entreprises faut prendre nos élèves en stage mais faut corriger leurs rapports. Crédible ! ;) #supinfo
Source

SUPINFO rend les rapports de stage obligatoires et nous prévient à la dernière minute
Source article: http://supinfowatching.blogspot.com/2010/06/supinfo-rend-les-rapports-de-stage.html

Saturday, February 6, 2010

Avis d'expulsion de SUPINFO Nice

Merci pour tous vos témoignages. Aujourd'hui nous devenons le premiere source d'informations NON CENSURES sur SUPINFO, et on continue de montrer le visage caché de SUPINFO et des choses dont tous les étudiants, parents, propriétaires et salariés doivent connaitre, afin de savoir ou ils s'engagent.

L'ignorance, la censure, la loi du silence doivent etre brisés.

Source image: http://twitpic.com/1v7s51

Image reproduite ici pour les archives (contenant le message adressé par le propriétaire des locaux de Nice aux étudiants et regrettant que SUPINFO dépense tant en frais publicitaires pour vanter les mérites de sa formation, mais qui n'honore pas ses dettes).

Tuesday, February 2, 2010

Un salarié de SUPINFO rue de Bassano à Paris témoigne

Nous avons reçu cet email qui a été adressé à Alick Mouriesse le 25 Mai 2010 par un salarié SUPINFO de la rue Bassano à Paris.

[Début de la citation]

Nota bene : avant toute chose, je tiens à signaler que cet email a été écrit sans concertation avec les salariés SUPINFO, et que même si je pense qu'il reflète l'état d'esprit général, il n'engage que moi, son auteur, un salarié.

Monsieur Mouriesse,

Avec SUPINFO, nous assistons depuis quelques années à une belle success-story : des locaux prestigieux à travers le monde, une croissance impressionnante et rapide avec un nombre d'étudiants en hausse constante, des ouvertures programmées pour 65 campus d'ici 2012, un montage juridique composé de tellement d'entreprises dans tant de pays que l'on en ferait pâlir n'importe quelle multinationale. Bref, présenté ainsi, tout cela semble bien prometteur et fort bien engagé.

Cette carte postale est malheureusement bien différente de ce que nous vivons au jour le jour à SUPINFO ; plus précisément, de ce que les salariés vivent au jour le jour.

Et oui, il est temps que nous aussi, salariés, fassions entendre notre voix.

Cela semble fonctionner pour les étudiants de Bordeaux et Toulouse après tout !

Et comment faire entendre notre voix ? Comment vous faire remonter l'image de notre quotidien ? Enfin telle n'est pas vraiment la question, car vous déjà avez conscience de ce que nous endurons, mais préférez fermer les yeux...

L'idée m'est venue de faire la liste des griefs que j'avais envers SUPINFO.

Mais par où commencer cette liste ? Il y en a tellement ! En voici donc une liste non exhaustive, classée par ordre chronologique :

- Été 2007, dans la grande salle de réunion du 1er étage de Bassano, premier jour dans ces locaux prestigieux. Vous expliquiez que ce n'était pas plus cher de manger dans ce quartier luxueux qu'à Château-Landon. Quelle rigolade quand on y repense ! Alors que nous mangions au restaurant presque tous les jours à Château-Landon, pour le même prix, nous mangeons maintenant un sandwich sur les fauteuils délabrés de la salle de réunion.

- Décembre 2008, dans une salle au sous-sol de Bassano, tous les salariés du siège face à vous. Alors que nous subissions déjà tous à l'époque d'importants retards de salaires, vous regardiez alors tous vos collaborateurs dans les yeux en leur annonçant deux grandes nouvelles :

d'une part, vous n'étiez plus propriétaire de SUPINFO (l'école avait été vendue à des investisseurs étrangers - vous n'en étiez plus le leader que pour quelques années encore - même vos proches collaborateurs, Arnaud et Olivier, semblaient étonnés par cette annonce) ; d'autre part, nous allions tous avoir une prime équivalente à un mois de salaire (en dédommagement des problèmes financiers que nous pouvions rencontrer à la suite de ces retards de salaires). Avec le recul, nous savons que ces annonces étaient fausses.

Mais annoncer tout cela en regardant vos salariés dans les yeux, vraiment, vous êtes fort !

- Premier semestre 2009, alors que les retards de salaires perdurent, j'essaie d'expliquer à mon banquier que les deux mois de salaires en retard allaient enfin arriver bientôt, et même que notre entreprise prendrait à sa charge les frais financiers engendrés sur nos comptes (sans parler d'obligation légale, ce serait la moindre des choses). Mais, c'est bien connu, à SUPINFO, tout est toujours la faute de la banque...

- Milieu 2009, nous apprenions avec effroi que notre mutuelle avait été suspendue faute de paiement par l'employeur. Bien sûr, nous avons appris cela de la mutuelle elle-même ; bien évidemment pas de notre employeur, qui avait sûrement plus important à faire que de s'occuper de la protection médicale et sociale de ses salariés !

- Depuis le dernier trimestre 2009, nous attendons avec impatience nos tickets restaurant, pourtant bien prélevés de nos salaires. Tickets arrivés d'un bloc (très pratique...) en février. Pour votre information, au cas où vous souhaiteriez feindre ne pas le savoir, nous sommes toujours en attente des suivants depuis 2 mois, bientôt 3.

- Depuis maintenant plus d'un an, nous examinons chaque fiche de paie (qui arrive parfois avec plusieurs mois de retard ; enfin quand elle arrive...) pour vérifier ce qu'il manque ou ce qui est faux presque systématiquement :

congés payés erronés, remboursement des titres de transport qui disparait, pas de numéro URSSAF... Je ne parle même pas des bulletins reçus de SIU, société non immatriculée en France...

- Depuis quelques mois, nous contactons les différents organismes sociaux pour leur demander des informations sur SUPINFO, et nous apprenons avec effroi que les cotisations URSSAF par exemple ne sont pas payées. D'un autre côté, comme aucun numéro URSSAF ne figure sur nos fiches de paye, il n'est peut-être pas possible de payer les cotisations si l'entreprise n'est pas correctement enregistrée...

- Depuis quelques mois, nous demandons à la Caisse Nationale de l'Assurance Vieillesse nos identifiants sur leur site, et nous constatons qu'il nous manque de nombreux trimestres de travail à SUPINFO qui n'ont pas été déclarés.

- Depuis quelques semaines, nous remarquons avec stupeur que les feuilles pré-remplies des impôts sur les revenus sont fausses, et qu'il manque plusieurs mois de déclaration (comme par hasard, il manque les mois pour lesquels nous avons été basculés sur PIC, sans que cela n'ait d'ailleurs jamais été notifié aux salariés - pardon, nous avons bien eu une notification, mais pour un basculement sur SIU).

Il manque sûrement bien d'autres problèmes à cette liste ! Nous ne pouvons malheureusement pas nous retourner vers la convention collective (et oui, nous n'en avons pas...), ni vers le représentant du personnel (et oui, nous n'en n'avons pas non plus...), ni même vers notre président ("The International University Network", président de PIC selon les statuts disponibles sur societe.com, semble être parti en vacances à l'étranger, il n'est plus dans les pages blanches...) pour en dresser une liste plus précise.

Passer outre tous ces problèmes auxquels nous devons faire face au jour le jour, et qui sont si importants pour nous tous, n'est plus vivable. En fait, ils prennent une telle ampleur qu'ils en deviennent non seulement le sujet de préoccupation principal, mais affectent clairement notre travail. Non Monsieur Mouriesse, il ne s'agit pas des ragots de la pause café, comme vous l'aviez insinué il y a plusieurs mois. C'est simplement un fait, une réalité, un constat évident. Arrêtez de vous mentir à vous-même. Arrêtez de fermer les yeux. Arrêtez de mentir à vos salariés. Il y a des problèmes importants, il serait temps d'y faire face, pour une fois. Ces problèmes concernent vos salariés, la force vive de SUPINFO. Ces mêmes salariés qui ont développé SUPINFO avec vous, à vos côtés.

Aujourd'hui, les salariés ont perdu toute motivation, toute confiance. Une grande partie ne travaillent plus ou ne font que le minimum légal. Enfin pour ceux qui ont un travail bien entendu, car vous n'êtes pas sans savoir que plusieurs parmi nous viennent tous les jours au travail sans avoir de mission. Incroyable non pour une structure qui connait de graves problèmes financiers ? Inutile de vous dire que ça n'aide pas à motiver les rares qui (naïvement ?) travaillent encore. Quand on voit les problèmes financiers auxquels SUPINFO est confronté, on peut se demander quelles raisons métaphysiques peuvent justifier d'avoir des employés payés à ne rien faire !

Ça doit sûrement être politique...

D'un autre côté, la Direction est totalement inexistante. Tant au sens propre (vous n'êtes jamais présent à Bassano, et quand vous l'êtes, vous êtes enfermés dans vos bureaux) qu'au sens figuré. En effet, vous n'êtes pas sans connaître tous les problèmes évoqués ici (ou alors ce serait mentir à vous-même et à vos salariés, même s'il est vrai que c'est un art dont vous avez la maitrise), mais nous n'avons pourtant jamais eu de communication par rapport à tout cela. Que vous soyez occupé à des tâches stratégiques est tout à fait compréhensible. Par contre, que vous ne soyez pas capable de déléguer le management et la gestion quotidienne à quelqu'un, que vous soyez un point de blocage constant, est totalement inadmissible d'un dirigeant.

On peut se demander à juste titre pourquoi nous en sommes arrivés là ! Il est facile de constater que les problèmes financiers auxquels nous sommes confrontés (nous n'en connaissons finalement pas la source, mais cela devient usant de voir débarquer les huissiers ou les créanciers à Bassano) et les problèmes juridiques avec SOC, sont à la base de bon nombre de difficultés rencontrées par les salariés : problèmes financiers, aucune communication, aucun management...

Vous avez oublié depuis trop longtemps que vos salariés sont la force vive du projet SUPINFO. Que sans eux, celui-ci n'aboutira pas. Cette démotivation importante à laquelle nous faisons face, nous les salariés, empire d'autant plus la situation de SUPINFO.

J'avoue ne pas savoir ce que peut nous réserver la suite. J'imagine votre première réaction face à ce message, basée comme toujours sur la victimisation, en vous disant que tout le monde vous en veut, que vous faites pourtant tout votre possible pour sortir SUPINFO de cette mauvaise passe, et que maintenant, même les salariés se liguent contre vous !

J'imagine que vous pourriez répondre à ce mail en donnant votre vision de la situation et en répondant point par point. J'imagine encore que vous pourriez vous déplacer à Bassano, et faire une réunion avec tous les salariés, une mise au point pour remonter le moral de vos troupes. Mais pour dire quoi ? Pour faire quoi ? Quand nous savons tous que vous êtes capable de promettre à vos salariés des primes et du vent en les regardant droit dans les yeux, comment peut-on encore vous croire ? Quand nous constatons que vous êtes capable de fermer les yeux sur les retards de salaire, les problèmes de mutuelle, les cotisations sociales non payées, les tickets restaurant que nous n'avons pas, comment vous croire ? Quand vous laisser une partie de vos salariés venir au bureau sans avoir de travail, dans le laxisme le plus total depuis des mois, comment vous croire ? Quand vous attribuez aux autres le prix de vos erreurs, de votre désorganisation et de votre manque de management, comment vous croire encore ?

Je ne sais même pas ce que nous pouvons attendre de ce mail. La perte de confiance est telle qu'elle me semble irrémédiable. Les problèmes sont tels qu'ils me semblent insurmontables. Peut-être que si vous nous disiez une fois pour toute que tout espoir est perdu et que nous allons fermer, ce serait enfin la délivrance...

En espérant une réponse très prochainement.


[Fin de la citation]

Monday, February 1, 2010

Réponse d'un ancien employé de SUPINFO [Update 3 juin 2010]

Réponse de l'ancien employé SUPINFO à certains commentaires postés à la suite de cet article: SUPINFO, une école à très haut risque ? Témoignage d'un ancien employé.

[Début de la citation]

Bonjour,

Je me permets de revenir vers vous pour éclairer sur quelques points soulevés dans les commentaires postés et apporter quelques détails supplémentaires.

Tout d?abord, et j?aimerais que ceci soit bien clair pour tout le monde: je ne suis pas mandaté par MM Nay et Lasage que je n?ai pas le plaisir de connaître. Je ne percevrai donc pas de commission sur les inscriptions à Ingésup, école dont je n?ai aucun renseignement et que je ne vous ai pas conseillée par ailleurs ! Et je ne suis pas concerné par la procédure judiciaire en cours avec Ingésup à qui SUPINFO n'a pas non plus payé les frais de scolarité dus! Mais bon!

Je ne fais plus partie de l?équipe SUPINFO et ma carrière professionnelle se poursuit désormais ailleurs. Il ne s?agit donc pas de mon avenir? mais du vôtre. ? Et des mes impôts aussi car si la levée de fonds réussie, c?est encore l?Etat qui paie à savoir moi, vous et vos parents? et tout cela pourquoi, pour qui : votre direction, leurs voitures?. Et sûrement pas pour votre bien être !!!!

Ma démarche n?est aucunement dictée par un besoin de vengeance, (je ne rien de personnel contre la direction de SUPINFO) mais par une envie de « transparence », dirons-nous, voire, pourquoi pas, de justice et de solidarité envers mes anciens collègues, qui, je vous assure, ne sont pas mieux lotis que vous.

Savez-vous l'un des ces derniers vient d?envoyer un e-mail à votre président, qui reflète parfaitement, hélas, l'état d'esprit général (malheureusement je ne peux pas le reproduire car mes anciens collègues demandent expressément de ne pas le divulguer en-dehors des murs de Bassano) et où il aborde entre autres les points suivants :

1) « un montage juridique composé de tellement d'entreprises dans tant de pays que l'on en ferait pâlir n'importe quelle multinationale » probablement pour noyer les poissons, ajouterais-je. Et si l?on veut aller un peu plus loin nous pouvons aussi nous demander pourquoi toutes les sociétés SUPINFO trouvées dans les sites officiels d?identification de société sont en liquidation, redressement ou terminées?

2) Les multiples promesses jamais tenues face aux retards répétés des salaires, et par conséquent les problèmes bancaires qui en découlent, non paiement des cotisations URSSAF (qui est d?ailleurs en procès avec SUPINFO), des cotisations retraite, de la mutuelle et des tickets restaurant? j?aimerais d?ailleurs savoir combien d?argent SUPINFO doit à l?Etat. Et vous ?

3) Dégradation des conditions de travail due à une complète absence de politique managériale et financière?.

J?en resterai là pour ce qui concerne les salariés SUPINFO. C?est à eux, s?ils le désirent, de publier leur lettre et la réponse édifiante de leur président (un vrai morceau de littérature? je vous l?assure !)

Revenons maintenant sur le problème des loyers. Je viens d?ailleurs d?apprendre que SUPINFO USA à des problèmes avec la justice pour? non paiement du loyer. Nous pouvons donc l?ajouter à notre liste qui commence à être assez longue :

- San Francisco

- Lille,

- Marseille

- Paris (locaux de la formation professionnelle où certains employés de SUPINFO ont failli se faire déchiqueter par un propriétaire)

- Lyon (demandez à la direction de SUPINFO pour quelle raison les locaux ont changé en 2010, ils vous répondront probablement que c'était une stratégie comme pour Lille)

- Londres (qui, et que ce soit dit au passage, était sous la menace d?expulsion depuis plusieurs mois, voire années?. Puisque SUPINFO UK ltd, locataire des locaux de Londres avait fait faillite depuis longtemps)

- Nîmes où SUPINFO n?est resté qu?un an, avant de déménager à Montpellier sans honorer les loyers

- Strasbourg menacé d?expulsion et sauvé en catimini par le paiement d?une partie des loyers dus (pour combien de temps?. Seul l?avenir nous le dira !)

- Le désastre de Bordeaux et Toulouse organisé par SUPINFO.

Arrêtons là notre liste qui, je le crains fort, n?est pas exhaustive? car je voudrais nous donner un autre exemple.

Je suppose que vous savez que SUPINFO est un procès avec TF1 pour non paiement de la publicité tonitruante que vous avez vue il y a quelques mois (coût de la facture impayée : entre 2 et 3 millions d?euros)? maintenant la pub passe sur BFM. Croyez-vous que, eux, ils seront payés ? Personnellement j?en doute?

Où en est le procès avec l'URSSAF pour non paiement des cotisations pour des montants autour de plusieurs millions d'euros? Que deviennent les "petits" et « moyens » fournisseurs (vous rappelez-vous du ménage pas fait dans les locaux, les problèmes de connexion internet, peut-être avez-vous été témoins des menaces de démontage des portes et fenêtres dans votre école pour non paiements des factures ?) qui eux aussi se retrouvent inexorablement dans la liste des "cocus" quand ils ne sont pas dans celles des sociétés en faillite à cause du non paiement des factures?

Pour terminer je voudrais, si vous me le permettez, faire avec vous un bilan financier de SUPINFO :

Etudiants : 6.000 x 5.000 euros = 30.000.000 euros

Evaluation des coûts de fonctionnement : masse salariale + loyers + communications? = 20.000.000 euros.

SUPINFO aurait donc un revenu net avant impôts (je vous rassure ceux-là ne sont pas payés non plus) de 10.000.000 euros ? 7.000.000? Et cela par an!

Ne trouvez vous pas qu'il y a là un décalage avec les voitures de très grand luxe, les déplacements en jet privé, les gardes du corps à la "Madonna"...

D?où toujours la même question : pourquoi tant de dettes, tant de problèmes d?impayés? où va cet argent ? On parle bien de millions d'euros à chaque fois....

Bien cordialement

[Fin de la citation]

Saturday, January 30, 2010

SUPINFO, une école à très haut risque ? Témoignage d'un ancien employé

[Dèbut de la citation]

C'est parce que vous n'avez aucune visibilité sur le véritable management de votre école que je voudrais vous éclairer sur certaines pratiques courantes appliquées par votre direction.

Ancien employé de SUPINFO j'ai été assez longtemps témoin de ses « choix stratégiques » dont le résultat, voulu et prémédité, est malheureusement de domaine public.

Non paiement des factures (quel que soit leur montant), des loyers, des professeurs, non remboursements des inscriptions?. C'est une volonté de votre président partagée par ses proches collaborateurs qui pensent que votre argent n'est pas du tout destiné à une bonne gestion de l'école vous permettant de suivre un cursus digne de ce nom. Pourquoi cette situation ? Essayez de poser la question à votre Président qui vous dira que la crise (oui cette crise a vraiment bon dos !) a touché votre école aussi, mais que lui, il brave vents et marées pour vous garantir la meilleure scolarité possible. Il vous fera plein de promesses que, comme d'habitude, il ne tiendra pas, s'engagera auprès de vous et de vos parents pour résoudre au plus vite les problèmes dont il n'est jamais au courant alors que c'est lui-même qui les a sciemment créés. Comment?

Tout simplement en appliquant la stratégie de « laisser les choses pourrir », gagner du temps en contournant et détournant la loi. Prenons l'exemple des loyers, exemple qu'on pourrait appliquer, bien évidemment, à n'importe quel créancier de SUPINFO . La procédure, très simple et bien rodée, est la suivante : après plusieurs relances sans réponses, le créancier, souvent extrêmement énervé se présente personnellement. Là, malheureusement on est obligé de le recevoir et la grande tragédie commence : « Ah bon, mais comment cela est possible ? Je n'étais pas au courant » dit-il d'un air étonné et outré! « Vous serez payés d'ici la fin de la semaine, je m'engage personnellement. Faites-moi confiance». Que des belles paroles et le créancier crédule part rassuré. Pourquoi doit-il douter de cette bonne volonté, de ces larmes de crocodile ! Il ne sait pas encore qu'il n'est pas du tout au bout de ses peines ! La semaine, les semaines passent et rien ne se passent. Pire encore la direction est désormais injoignable ! L'énervement du créancier ne cesse d'augmenter, en vain. Ce sont désormais ses avocats et la justice qui prennent la relève. Les procédures d'expulsion commencent et votre direction attend patiemment (car ces procédures sont toujours très lentes) mais sûrement le jour J en calculant entre temps les mois de location gratuite gagnés. Facile, n'est-ce pas ? Sauf que parfois les étudiants se retrouvent à la rue (où dans des hôtels qui ne sont pas payés non plus, en tout cas jamais en totalité). Tant pis, ce sont les aléas de la vie !

Ainsi les lettres d'huissier, d'avocat se multiplient au fil des jours et des mois sans provoquer le moindre émoi chez votre direction. Pourquoi s'émouvoir d'ailleurs ! Ils s'en sortent toujours car ils savent que ni les avocats ni les huissiers ne pourront récupérer l'argent de leurs clients puisque les comptes officiels sont vides depuis longtemps déjà et tout le monde sait que quand on est pas solvable? les créanciers peuvent attendre belle lurette cependant que votre président avec un grand sourire moqueur multiplient ses voitures dans son parking et se déplacent en avion privé et se paie (c'est bien sûr une façon de dire) des voyages de mille et une nuit. Avec votre argent bien évidemment !

Cela est bien connu, me direz-vous. Certes, mais la situation au sein de SUPINFO ne cesse de se dégrader. Ces pratiques plus que douteuses empêchent un travail cohérent, productif et efficace. Aucune organisation n'existe au sein de SUPINFO et le mot management est inconnu de votre direction trop occupée à vous escroquer et à escroquer l'Etat. Plusieurs membres du personnel ont déjà quitté ce navire à la dérive, et ceux qui restent, souvent très démotivés, gèrent les priorités tant bien que mal en attendant de partir eux aussi.

C'est pour vous le moment de choisir où poursuivre vos études. C'est un choix extrêmement important et SUPINFO, à cause la sa politique managériale, est une école à très haut risque. Oubliez les palabres de votre président pensez à tout ce qui s'est passé depuis que vous êtes dans cette école et dites-vous bien que cela ne peut qu'empirer puisque le seul, vrai problème de SUPINFO est sa direction. Et après? choisissez.

[Fin de la citation]

Friday, January 29, 2010

Alick Mouriesse propose des Hotels pour les cours des étudiants SUPINFO Bordeaux

ça ne semble pas déranger Alick Mouriesse de dire tout et son contraire à quelques jours d'intervalles. Un petit extrait d'un email il y a moins de 10 jours aux étudiants:

AM: Beaucoup d'entre vous nous demandent où pourraient se situer les campus de SUPINFO à Bordeaux et à Toulouse mais il faut savoir que les campus officiels de SUPINFO n'ont jamais changé. C'est la raison pour laquelle les adresses publiées sur notre site internet sont restées inchangées elles aussi.


Alick Mouriesse affirmait donc que l'association SUPINFO possédait toujours des locaux à Bordeaux (ceux d'IBM aux 40 journaux) entre autres. Et ce malgré qu'une décision de justice avait prononcé l'expulsion de SUPINFO de ces mêmes locaux... (voir article ici).

Alick Mouriesse reviens donc avec un autres email pour annoncer que les étudiants de SUPINFO Bordeaux auront cours dans deux hotels différents de Bordeaux.

L'Hotel Mercure
situé au 81 cours Saint Louis ? 33 300 Bordeaux

Et l'Hotel KYRIAD
situé au 68 A 78 RUE DE TAUZIA 33800 BORDEAUX

Source: http://shorttext.com/pdtiptqza

Le site internet de l'Hotel Kyriad peut être consulté à cette adresse: http://www.kyriad-bordeaux-st-jean.fr/

Mais attention ces deux hotels sont réservés uniquements aux B1 et aux B3. Les autres étudiants de SUPINFO Bordeaux sont donc dispensés de cours ce lundi puisque Alick ne semble pas encore leur avoir trouvé de locaux... ou plutôt d'hotels...

Notre avis

Alick Mouriesse ne semble reculer devant rien pour tenter de mettre au maximum les bâton dans les roues aux franchisés qui ont pourtant scolarisé depuis le début d'année tous les étudiants de SUPINFO Toulouse et de Bordeaux, dont les locaux ont été validés par le secrétaire général de SUPINFO, et qui possèdent par contrat l'exclusivité à préparer au diplôme SUPINFO dans la région.

Alick Mouriesse en procès contre eux, semble s'impatienter que la justice prenne trop de temps, et a décidé donc de tenter de reprendre le maximum d'étudiants, et de priver donc les franchisés de leurs propres étudiants, quitte à envoyer ces étudiants avoir cours dans des Hotels.

Nous condamnons cette cette instrumentalisation des étudiants faites par Alick Mouriesse, et cette manière de tenter d'aboutir à ses fins quelles qu'en soit les conséquences sur les étudiants...

Liens utiles

Article d'une étudiante extérieur à SUPINFO qui a bien résumé la situation des étudiants de Toulouse et de Bordeaux: http://supinfo-watching.blogspot.com/2010/04/la-guerre-avec-les-franchises-laisse.html

Thursday, January 28, 2010

Comment un étudiant SUPINFO a fait du forcing pour obtenir son remboursement Rue Bassano

>>> [Début de la citation]

Bonjour,

Nous avons eu le même problème avec une inscription à Nantes. Après maintes relances, appels téléphoniques etc...., nous sommes montés à Paris une première fois où en insistant nous aons vu une personne qui nous a certifié que notre dossier était mis sur le dessu de la pile...

Sans nouvelles 3 mois après et toujours après des appels sans succès, nous sommes retournés rue Bassano à Paris et avons demandés à être reçus; ma femme enceinte de 7 mois et moi. On nous a laissés poireauter dans le hall en nous indiquant que le responsable n'était pas là. Nous leur avons indiqués que nous ne bougerions pas sans remboursement.

Par hasard, une dame venant de Martinique pour la même raison est arrivée à l'accueil où on lui a donné la même réponse.

Devant l'immobilisme de cette institution et le manque d'humanité face à ma femme enceinte, nous nous sommes permis d'aller à l'étage frapper aux portes pour trouver les responsables.

On nous a demandé si nous cherchions quelque chose. Nous avosn réitéré notre demande et après qu'on ai pris nos noms; les chèques de remboursements émis par le responsable qui avait certainement dù revenir entre temps nous étaient remis 10 minutes après....

A vous de voir ce que vous voullez faire.....


[Fin de la citation] <<<

Source

Wednesday, January 27, 2010

3ème décision de justice - La stratégie d'Alick d'asphyxier financièrement SUPINFO Toulouse et Bordeaux mise en échec par la justice

La justice a condamné (une fois de plus) la société Educinvest (société belge appartenant à Alick Mouriesse président de SUPINFO): Consulter ici l'ordonnance du jugement.

Pourquoi on parle de stratégie mise en échec? car Alick Mouriesse semble avoir tenté d'asphyxier financièrement les écoles SUPINFO Toulouse et SUPINFO Bordeaux par 2 moyens:

1/ Refusant de se conformer à une décision de justice rendue le 24 Décembre 2009 condamnant la société Educinvest à payer 1 million 291 815 euros qu'elle doit aux franchisés. (Ordonnance de condamnation d'Educinvest)

Les franchisés (propriétaires de SUPINFO Toulouse et Bordeaux) n'ont pas abandonné les étudiants de SUPINFO Toulouse et de Bordeaux et ils continuent (malgré le non versement de sommes importantes qui leur reviennent de droit) à assurer une scolarité la plus normale possible à leurs étudiants... pendant qu'Alick Mouriesse s'obstine dans un comportement très préjudiciable à SUPINFO et à tous les étudiants.

2/ Alick Mouriesse a tenté de geler les avoirs financiers de la société des franchisés (qui aurait eu pour conséquence de les empêcher d'utiliser leur compte bancaire, de payer leurs factures etc), en demandant une saisie conservatoire sur les compte bancaires des franchisés, et en omettant de dire au juge la condamnation de la société quelques semaines auparavant...

Explications:

"Mais comment est-il possible que la société d?Alick Mouriesse, EDUCINVEST, obtienne l?accord du Président du Tribunal de commerce de Bordeaux de délivrer une saisie conservatoire sur les comptes de SUD OUEST CAMPUS ?

Tout simplement en cachant volontairement au Président du Tribunal de Commerce de Bordeaux de l?existence du référé du 24 décembre 2009.

Nous avons donc pour contester cette saisie conservatoire fait une demande en référé d?annulation, en date du Mardi 26 janvier 2010.
"
Source

Alick Mouriesse a réussi à geler temporairement le compte bancaire de la société des franchisés, mais la justice a été saisie et a annulé cette "saisie conservatoire" illégale, et a condamné la société Educinvest aux dépens.

De plus on peut constater dans cette ordonnance qu'Alick Mouriesse a tenté de faire fermer et détruire les sites http://www.supinfo-bordeaux.fr/ et http://www.supinfo-toulouse.fr/. La justice ne lui a pas accordé cela.

Pourquoi Alick tente de faire fermer les sites internet officiels de SUPINFO Toulouse et Bordeaux?

Pourquoi cette obstination contre les écoles du sud ouest où sont scolarisés plus de 600 étudiants?

Pourquoi le compte bancaire de la société Educinvest affiche un solde créditeur de 17 000 euros, quasiment vide quand on sait que "les pré-inscriptions et inscriptions de l?année en cours ont rapporté en France, environ 25 000 000 d?euros à la communauté d?intérêts d?Alick Mouriesse"? (source)

Où sont passé les plus de 25 millions d'euros représentant les frais de scolarité des étudiants?

Tuesday, January 26, 2010

SUPINFO condamnée par la justice à cause du non remboursement d'un étudiant

Nous vous parlions il y a quelque temps d'un étudiant de SUPINFO qui a assigné SUPINFO devant les tribunaux pour le non remboursement de ses frais de scolarité (voir ici).

Et bien la décision du juge est une victoire pour tous les étudiants. SUPINFO a été condamnée par la justice et a donné raison à cet étudiant contre SUPINFO.

Témoignage:

"PAR CES MOTIFS:

Le juge statuant en référé, publiquement, par décision réputée contradictoire et en premier ressort,

Condamne la SARL SUP**** à payer à Monsieur B. la somme de 2000 euros augmentée des intérêts au taux légal à compter de la mise en demeure du 2 Juillet 2009.
(Cette somme m'a été versée 6 jours avant l'audience)

Condamne la SARL SUP**** à payer à Monsieur B. la somme provisionnelle de 379,99 euros au titre du remboursement des frais bancaires et de la pénalité libératoire augmentés des intérêts au taux légal à compter de la mise en demeure du 9 Septembre 2009.

Rejette la demande formulée au titre des dommages et intérêts et renvoie le demandeur à se mieux pourvoir au fond ainsi qu'il en avisera.

Condamne la SARL SUP**** aux dépens de l'instance et au paiement de la somme de 1000 euros au titre des dispositions de l'article 700 du Code de Procédure Civile.

Ainsi jugé et prononcé les jours, mois et ans susdits."

Reste maintenant à mon avocate de faire exécuter cette décision.

Bon courage à tous.


Merci encore à cet étudiant d'avoir partagé cette information avec nous ainsi que tous nos lecteurs. Pour les étudiants toujours en attente de remboursements, n'hésitez pas à saisir les tribunaux et de faire faire respecter vos droits.

Encore un témoignage datant d'il y a 24 heures:

"Après 4 mois de harcèlement intensif, SUPINFO m'a enfin remboursé !" Source

SUPINFO et Alick Mouriesse attendent-il toujours d'être au pied du mur pour prendre les bonnes décisions?

Monday, January 25, 2010

Réponse d'une partie des étudiants de SUPINFO au dernier email d'Alick Mouriessee

Nous souhaitons apporter une réponse claire et argumentée aux propos mensongers et manipulateurs que Alick s'est permi de transmettre à tous les étudiants de SUPINFO. Quel est votre but au juste? Pourquoi mêlez-vous tous vos étudiants à des affaires qui ne les concernent à priori en rien?

Premièrement Alick affirme: "J'apprends qu'il y a actuellement plusieurs opérations de communication extrêmement négatives contre notre établissement tout comme contre moi, à titre personnel."

En quoi ce qui concerne personnellement Alick Mouriesse concerne les étudiants de l'école? Souhaitez-vous monsieur Mouriesse jouer les victimes (une fois de plus) pour tenter d'attirer la sympathie des étudiants?

"Au travail équilibré et complet de la justice déjà saisie qui doit se prononcer sur le fond en cas de litiges entre des tiers, ils préfèrent anticiper des décisions en préjugeant à nos seuls tords avec un argumentaire à charge, fallacieux, voire diffamatoire."

Ce que monsieur Mouriesse oublie de dire à tous les étudiants c'est que la justice a condamné il y'a plus d'un mois sa société Educinvest à verser plus d'un million d'euros à la société représentant les franchisés du sud ouest (Jugement ici)

De plus Alick Mouriesse a tenté d'annuler le contrat de franchise qu'il avait passé avec le représentant de SUPINFO Maroc. La justice encore une fois a donné tort à monsieur Mouriesse et l'a débouté de sa demande (jugement ici)

Bref pourquoi monsieur Mouriesse ne dites-vous pas toute la vérité? Pourquoi tentez-vous de manipuler vos étudiants avec des informations incomplètes?

Ce qui est incroyable c'est que monsieur Mouriesse ose dire des franchisés qu'ils "ne communiquent volontairement aujourd?hui que des informations et pièces partielles", et tenter de manipuler lui-même les étudiants en leurs apportant des informations partielles... et en omettant de dévoiler la condamnation de ses intérêts par la justice.

Les étudiants de SUPINFO étudiant au sein des campus franchisés de Toulouse, Bordeaux, et Maroc sont les premiers à témoigner de la compétence de leurs administration locale, et du sérieux de leurs représentants.

"La prise en otage injuste de milliers d?étudiants qui sont bien loin de toutes ces considérations et la déstabilisation d?un établissement tout entier ne les freinent guère."

C'est vous qui prenez en otage vos étudiants en les mêlant par cette lettre à des affaires qui ne les concernent pas.

C'est vous qui ne respectez pas la décision de justice rendue il y a plus d'un mois, condamnant votre société belge à verser les impayés aux représentants des franchises.

"Il semble que l?objectif soit de nuire tout simplement, sans considération pour la majorité des étudiants...mais pourquoi ?"

Le votre est très clair: tenter d'aboutir à vos buts par tous les moyens, y compris y mêler vos étudiants... C'est déplorable comme comportement et c'est même irresponsable venant du président d'une école.

"Dans ce contexte, où la plupart d'entre vous a bien compris qu'une telle démarche ne pouvait être véritablement innocente et altruiste"

La plupart ont compris que très probablement la seule personne altruiste c'est vous monsieur Mouriesse... Vous êtes tellement altruisme que vous avez transformé une école à but non lucrative en business délocalisé en Belgique pour empocher le max de fric...

Vous faites de l'argent en France (venant d'étudiants français), pourquoi délocalisez-vous SUPINFO en Belgique? Vous avez peur de payer trop d'impôts dans le pays qui vous a apporté tout ce que vous avez?

"inviter tous les étudiants qui le souhaitent à en débattre avec moi."

Merci de mêler d'une façon aussi clair vos étudiants à ce qui théoriquement ne les concerne en rien. Voulez-vous qu'ils débattent aussi avec vous lors de l'achat de votre prochaine Ferrari par exemple?

"j'appelle tous les étudiants à se replonger dans leurs études et à se concentrer sur la préparation de leur avenir à l'approche des examens SGES"

- Vous voulez quoi que les étudiants débattent avec vous de vos problèmes ou qu'ils préparent leurs examens?
- Vous voulez qu'ils pensent à leurs études, ou qu'ils pensent à vos soucis personnels?

"Je souhaite également exhorter tous ceux qui, comme moi aiment leur école et en ont assez de ces opérations malsaines, à réagir ensemble pour défendre nos valeurs et notre esprit d'école."

Vous dévoilez enfin les intentions de votre email: tenter d'obtenir le soutien des étudiants et discréditer vos opoosants.

La justice vous a donné tort par 2 fois, est-ce qu'on doit vous soutenir aveuglément?

Peut-on soutenir une personne pas très claire? Qui ne dit pas vraiment toute la vérité? Qui cache le fait que la justice a condamné votre société?

Crédits et arguments par: Lexis & Charlotte

Sunday, January 24, 2010

Gagner des points de participation à SUPINFO en faisant le ménage pour décrocher un diplôme au final

Si vous pensez avoir tout vu sur la triche à un examen de plus de la moitié des étudiants de SUPINFO Toulouse, examen reportée par un formateur de SUPINFO qui les as pris la main dans le sac. (voir ici)...

Et bien désolé de vous choquer encore. Un étudiant de SUPINFO Canada semble gagner des points de participation à la vie de l'école, points qui sont compatabilisés pour la délivrance du diplôme de SUPINFO, en faisant le ménage dans son école.

Faire le ménage à SUPINFO pour gagner des points?. Incroyable encore une fois, mais vrai.

Cet étudiant témoigne:
"Point de participation à la vie de l'école en allant faire le ménage ! 6 réponses en 5 minutes #supinfo #montreal"

Bref cela ressemble à faire travailler les étudiants en échange de points (un seul point dans ce cas), points qui bien sûr comptent pour décrocher le diplôme de SUPINFO. Encore une fois: que vaut vraiment le diplôme de SUPINFO au final?

Un Maitre de conférence à l'Université de Bordeaux a été choqué par de telle pratiques un peu malsaines d'instrumentaliser des étudiants au service de cette école, avec la promesse de gagner des points de participations comptabilisés dans la moyenne et donc comptant pour décrocher le diplôme SUPINFO.

Témoignage:
Ce qui est scandaleux dans ce genre d?approche c?est que SupInfo se sert des notes comme monnaie d?échange contre des services que lui rendent ses élèves. La perversité de ce système est à tous les niveaux. Tout d?abord parce qu?elle détourne les élèves de leur but initial qui est de se former pour affronter le monde du travail (une formation qu?ils payent très cher, en plus). Et ensuite parce que SupInfo transforme ses étudiants en hommes-sandwich sans aucune vergogne, sans même leur laisser le choix car s?ils ont besoin de ces points ils ne sont pas en situation de refuser de telles pratiques.
Source: Le Tao du Code

La question qui subsiste est la suivante: jusqu'à quand les Pouvoirs Publics français et Ministères de l'Education et de l'Enseignement Supérieur fermeront les yeux sur ses dérives très préjudiciables aux étudiants, mais aussi à l'image de la France de son système éducatif, qui ont lieu au sein de cette école?

Saturday, January 23, 2010

Comment SUPINFO essai de discréditer la CTI ainsi que toutes les formations des écoles habilitées par cette commission

Incroyable mais vrai. Non seulement SUPINFO tente de faire croire au monde qu'elle est une école d'ingénieurs (ce qu'elle n'est pas: voir ici), mais de plus elle tente de discréditer la Commission des Titres de l'Ingénieur (CTI) ainsi que toutes les écoles qui ont fait le choix de faire valider leur cursus par cette commission.

Petit rappel du rôle de la CTI (et ce que SUPINFO ne va jamais oser vous dire sur son site).

"La CTI (Commission des Titres d?Ingénieur) est un organisme indépendant, chargé par la loi française depuis 1934 d?habiliter toutes les formations d?ingénieur, de développer la qualité des formations, de promouvoir le titre et le métier d?ingénieur en France et à l?étranger."

Cette commission indépendante "de par ses missions et compte tenu de sa composition, de son expérience et de ses visites régulières dans les écoles, la CTI s?assure de la qualité des formations d?ingénieur et de leur adaptation permanente au contexte européen et international, académique et professionnel, et en apporte la garantie."

Source: http://www.cti-commission.fr/

Nous allons apporter une précision importante: la CTI s'en fiche de quelle école est habilité ou de quelle autre. la CTI est une commission indépendante. Ce qui compte pour la CTI c'est avant tout la qualité de la formation offerte, et le fait que cette formation réponde aux besoins du marché professionnel européen et international.

Le discours de SUPINFO (et la volonté manifeste de discréditer la CTI).

"Ayant résolument et principalement fait le choix de s'adapter chaque année avec précision aux attentes d'un marché informatique très international et en constante évolution, SUPINFO n'a jamais fait de demande d'habilitation de son titre par la commission des titres d'ingénieurs en France (CTI)."

"Privilégiant l'employabilité de ses anciens élèves, le Conseil de Perfectionnement de SUPINFO, composé notamment des représentants des plus grandes sociétés informatiques mondiales, considère en effet que certains critères actuels imposés par la CTI sont incompatibles avec les exigences très particulières qui sont, elles, imposées par le marché international de l'industrie et des services en informatique [...]"

Source: site officiel de SUPINFO

SUPINFO veut nous faire croire qu'elle qu'il y a d'un côté des écoles comme elle "s'adaptant avec précision aux attentes du marché informatique", de l'autre les écoles CTI (EPITA, Polytechnique, les Mines, Telecom Paris) qui prétendument formeraient des ingénieurs inadaptés au marché informatique?

Vous rendez-vous compte de l'énormité de la chose? Si ce n'est pas crasher sur la plus vieille institution française créée par une loi française dont le seul but est non pas de vendre des formations ou de faire du chiffre d'affaire, mais d'évaluer la qualité des formations.

Et oui c'est là que le bas blesse. La CTI n'a aucun intérêt à privilégier une école vis à vis d'une autre. Elle privilégie avant tout la qualité des formations des écoles qu'elle évalue. Quel est le but de SUPINFO d'après vous? Ce n'est sûrement pas de vous donner un éclairage neutre sur quelles écoles sont les mieux placées pour préparer au mieux des étudiants au métier d'ingénieur.

Si SUPINFO était reconnue par la CTI, elle serait leader en France pour le crier sur tous les toits, comme elle est incapable d'être habilitée par cette commission, et bien elle tente de discréditer le travail de cette commission, et de tenter tant bien que mal de montrer la supposée supériorité de son modèle face à des écoles qui n'ont besoin d'aucune publicité sur TF1 pour se faire connaitre...

SUPINFO continue son argumentaire marketing (qui ne tiens pas devant la plus rapide analyse des faits)

"Afin de lever toute ambiguïté sur la nature du titre délivré par SUPINFO, il est donc clairement confirmé ici que SUPINFO n'ayant pas souhaité d'homologation par la CTI pour les raisons précitées, l'établissement ne délivre pas en France de "titre d'ingénieur diplômé".

Bien sûr SUPINFO n'a pas souhaité être habilitée.

Je vous laisse prendre connaissance d'un témoignage d'un étudiant de SUPINFO sur la question:

SUPINFO raconte une énorme blague sur l?impossibilité de délivrer un diplôme d?ingénieur, « comme quoi n'a pas souhaité faire de démarche auprès de la Commission des titres d'ingénieurs pour pouvoir garantir à ses étudiants un programme comportant une part très importante d'informatique dès le cycle préparatoire ».

C?est un mensonge total, car toute les écoles privées s?arrachent les cheveux pour devenir un jour école d?ingénieur agrée CTI, comme récemment EPITA qui devient une vraie école d?ingénieur CTI après 10 ans des démarches et qui rentre dans la cour des grandes écoles.

Regarder l?exemple des écoles d?ingénieur privées qui arrivent entête du classement par la bonne qualité de sa formation et des notes aux BAC pas moins de 12/20 après un vrai concours d?entrée : CPE Lyon, ESIEE Paris, EPF - Sceaux, ISEP - Paris, ESIGELEC


Source: blog d'un étudiant de SUPINFO

Bref essayer de faire croire qu'on est une école d'ingénieur est une chose, tenter de discréditer des écoles dont SUPINFO n'arrive pas même à la cheville, ainsi qu'une commission indépendante créée par une loi française est une autre chose beaucoup plus grave.

Jim & Sophie
Article rédigé avec l'aide et la contribution d'étudiants de SUPINFO (très courageux de vouloir montrer la vérité envers et contre tout autre intérêt passager et mesquin).

Friday, January 22, 2010

Ecole d'ingénieurs? Comment SUPINFO manipule l'information et trompe les moteurs de recherche

Voir aussi notre article: SUPINFO école d'ingénieurs? un mythe, un mensonge, une désinformation flagrante qui apporte les preuves sur la base d'informations du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la CTI comme quoi SUPINFO n'est pas une école d'ingénieurs.

L'un des arguments des défenseuse de cette grosse supercherie est: seulement le terme "diplôme d'ingénieurs" est protégé en France, pas celui d'école d'ingénieurs. C'est vraiment prendre les gens pour des pigeons non?

Si on suit ce raisonnement. Puisque les termes "école d'ingénieurs" n'est pas protégé, alors n'importe qui peut s'appeler école d'ingénieurs, y compris un épicier. Un épicier peut s'appeler si ça lui chante "école d'ingénieur", ou encore "International University of Epicerie".

Le problème c'est que même si ce n'est pas illégal, c'est faux et c'est mensonsonger, et ce qui devient mensonger et trompeur devient du coup illégal... et un professeur d'université a très bien résumé la situation dans son billet:

"Ce que je ne comprends pas, c?est que la CTI n?ai pas encore attaqué SupInfo pour usage abusif du titre d?ingénieur qu?elle en fait. Ou encore, qu?un élève de SupInfo ne se soit pas encore retourné contre son établissement en les attaquants pour publicité mensongère (Art. L.121-1 du code de la consommation). Car SupInfo base une grosse partie de son succès sur le fait que la majorité de ses élèves croient travailler pour obtenir un diplôme d?ingénieur." Source

De plus le comble c'est que SUPINFO tente même de faire croire qu'elle forme des "ingénieurs diplômés". (voir capture ici ou article complet ici)

Mais dans quel but? Quel intérêt de faire croire à des gens ce qu'on n'est pas? L'épicier n'en a aucun intérêt, SUPINFO elle en a intérêt et l'a très bien compris...

Pourquoi? Parce que faire croire qu'on est une école d'ingénieur va pousser certains étudiants et leurs parents à déduire (à tort), qu'ils recevront un diplôme d'ingénieurs. Ils risquent d'être très très déçus quand ils découvriront la réalité.

Quand on va étudier dans une école de peinture, c'est pas pour en sortir avec un diplôme de musicien, c'est pour décrocher un diplôme de peinture. De même quand on va étudier dans une école d'ingénieurs (une vraie), ce n'est pas pour recevoir un diplôme de super technicien, mais pour recevoir un diplôme d'ingénieurs (un vrai).

Ceci est le raisonnement logique de beaucoup d'étudiants... (et même de professionnels)... Et SUPINFO l'a très bien compris. Voilà pourquoi même si le Ministère de l'Enseignement Supérieur français (rien que ça!) vous dit noir sur blanc que SUPINFO n'est pas une école d'ingénieurs, SUPINFO continue de tenter de faire croire aux étudiants, à leurs parents, et aux entreprise qu'elle est une école d'ingénieurs.

SUPINFO continue ses campagnes marketing agressives et ambigues dans ce sens. Cela a le même effet que l'effet publicitaire. Et cela marche avec succès, à tel point que certains étudiants de SUPINFO croient dur comme fer qu'ils étudient vraiment au sein d'une école d'ingénieurs!

Quand vous les poussez un peu dans le peu de retranchement qu'ils ont sur cette question ils finissent par avouer à demi-mots qu'ils n'étudient pas au sein d'une vraie école d'ingénieur, et encore moins peuvent t-ils prétendre à un diplôme d'ingénieur. ET de toute façon il est souvent trop tard pour eux de changer d'opinion. Qu'est-ce qui leur reste? Tenter comme SUPINFO de faire croire et s'auto-faire croire qu'ils sont des étudiants ingénieurs. C'est triste mais une fois qu'on a payé des milliers d'euros, quel autre choix?

L'image suivante montre clairement l'acharnement de cette école à vouloir à tout pris faire croire qu'elle est une école d'ingénieurs, pas seulement aux étudiants, pas seulement à leurs parents, mais également aux moteurs de recherche sur Internet!



Cette page est une capture du site officiel de SUPINFO, toujours accessible au 5 Janvier 2010 (ici même), où la répétition intentionnelle des termes "école d'ingénieurs en informatique" dans chaque phrase, appuyé par un lien dirigeant vers la page principale du site de SUPINFO, ne laisse aucun doute sur l'intention première de cette page: faire croire aux moteurs de recheche que SUPINFO est une école d'ingénieurs, et faire ressortir SUPINFO dans les premiers résultats de recherche sur ces mots clés.

Cette manipulation fait froid dans le dos. Ces méthodes sont une honte pour le système éducatif français, et les pouvoirs publics français, qui laissent faire cette école, qui partie d'une association à but non lucrative française, est devenue une grosse entreprise à fric, contrôlée par une entreprise belge créée et dirigée à 100% par un seul homme: Alick Mouriesse (qui occupe la fonction de président de SUPINFO...) et qui a transféré non seulement les marques de SUPINFO à sa société belge, mais également les fichiers des étudiants de SUPINFO.

Jusqu'à quand le Ministère de l'Education et les pouvoirs publics vont fermer les yeux?

Voir source suivantes:
- La société belge EDUCINVEST et la marque internationale Supinfo
- Alick Mouriesse propriétaire de la société belge EDUCINVEST - le Moniteur belge et SUPINFO

Thursday, January 21, 2010

Alick Mouriesse et SUPINFO - Témoignage accablant d'une personne qui en sait beaucoup trop

[Début de la citation]

Décidémment le président de SUPINFO après son email de Février/mars 2009 pleurnichant auprès des étudiants, et tentant d'étouffer tant bien que mal une grève générale au sein de l'établissement, revient encore une fois avec des promesses (oui encore des promesses...) et en essayant de jouer sur les sentiments des étudiants et parlant d'un esprit de famille qui fait rire beaucoup d'étudiants de SUPINFO.

L'esprit de famille semble exister uniquement quand ça arrange monsieur Mouriesse, et qu'il se retrouve en difficulté face à la gronde des étudiants, faces aux procès intentés contre son école par ses propres étudiants ainsi que contre lui même (entre autres SUPINFO n'a pas payé certaines cotisations des salariés...), faces à plusieurs étudiants qui commencent à prendre des initiatives très fortes pour montrer au monde ce qui se passe au sein de cette école.

Quelques citations du message d'Alick Mouriesse

Oui, nous faisons tous partie de la "famille SUPINFO" et ce ne sont pas de simples mots ! Chaque étudiant SUPINFO devrait en faire l?expérience, comme avant, comme toujours.

Monsieur Mouriesse jongle suivant les moments et les circonstances entre dire aux aux étudiants "vous êtes des clients", puis quand le vent tourne et qu'il a besoin d'un peu plus de soutien il leurs sort "on est une famille, la famille SUPINFO". Un jour on est des clients, le jour suivant on est une famille.

Ce genre de communications à but manipulatoire digne d'une secte n'a pas lieu d'avoir au sein d'une école d'ingénieurs. Beaucoup d'étudiants trouvent abjects ce genre de comportement du président d'une école. Et nous nous ne pouvons pas être jaloux. Jaloux de qui de quoi? Jaloux de la Ferrari d'Alick Mouriesse? Ou de son Jet Privée? On s'en fou.

On a payé pour avoir une formation digne de notre argent, et avoir en face des gens des gens responsables et professionnels, pas des gens mélangeant les genre, parlant de famille, puis venir le lendemain nous raconter que SUPINFO est un business et que nous sommes des clients!

En attendant pendant qu'Alick roule en Lamborghini et en Aston Martin, la "famille SUPINFO" comme il l'appele composé d'étudiants, de salariés, de propriétaires de locaux, de petites entreprises sous traitantes, sont beaucoup trop souvent victimes des malversations de cette école, et un comportement totalement irresponsable (encaissement prématuré de chèques, non remboursement de frais des formateurs, non paiement ou retards de paiement des salaires, non honoration de contrat signé avec la société SAP, intimidations et censures contre les étudiants pour les empêcher de rendre public les anomalies et j'en passe des meilleures...).

1/ Encaissement prématué des chèques des étudiants

Un des étudiants de SUPINFO en parle très bien il est devenu par je ne sais quel miracle le Microsoft Lab Manager de l'école). Il a lui même nommé son école "les rois de l'encaissement". Consulter son blog ici.

Beaucoup d'étudiants témoignent d'encaissements prématurés de chèques, les mettant personnellement et mettant leur VRAIE famille en graves difficultés financières avec leur banques, et parfois même en interdit bancaire! (Voir les commentaire dans le post précédants).

2/ Les salaires en retards ou non versés

Beaucoup de salariés de SUPINFO (y compris des assistant(e) de direction et beaucoup d'autres) ont eu des salaires versés plusieurs mois en retard. Alick Mouriesse leur a promis des compensations, il n'a jamais honoré sa promesse.

La vérité est qu'à force de se comporter comme une mafia, cette école commence à attirer l'attention du public, et les gens comment à comprendre la supercherie que beaucoup d'étudiants ont compris il y a bien longtemps. Le problème aujourd'hui 'est que des grosses sociétés commencent à le voir et les enquêtes et/ou procès s'enchainnent pendant que monsieur Alick Mouriesse tente encore de nous prendre pour des cons et de manipuler les étudiants d'une façon innacceptable avec des promesses et encore des promesses! EN refusant de dévoiler aux gens ce qui se passe. Faut-il que ça soit les salariés de SUPINFO qui le révelent?

Certaines anomalies laissent penser à une manipulation à grande échelle qui doit être mise au grand jour! Afin d'éclairer les pratiques comptables de cette école, et ses liens avec une société belge monté par le président de cette école et beaucoup d'autres choses très obscures (je vais éviter de trop en dire pour le moment).

3/ L'expulsion de Lille par les huissiers de Justice

SUPINFO tente de s'expliquer auprès de ses étudiants, avançant comme explications que cette expulsion était le seul moyen de rompre leur bail. Mais nous prenez vous pour des imbéciles? SUPINFO omet de dire, c'est qu'il y a plus de 150 000 euros d'impayés au propriétaire!

Cette information doit être connue de tous, afin que les personnes et/ou entreprises louant leurs locaux à SUPINFO sachent à quoi s'en tenir.

L'expulsion récente de SUPINFO de ses locaux de Lille témoigne d'un grave dysfonctionnement au sein de cette école. Les caisses de l'école semblent sèches. Où est passé l'argent des étudiants? Pourquoi tant de cours en e-learning?

SUPINFO ne fait depuis qu'avancer d'années en années la date limite de paiement des frais de scolarité pour leur année prochaine.

SUPINFO a supprimé toute note limite pour passer en année supérieure. Il y a quelques année la note limite était de 12 sur 20. Elle est passée depuis à 10 sur 20, et depuis ça on a eu le droit à un module de révision d'examens qui donnent les questions des examens aux étudiants!!

Cette école est une escroquerie. Une chimère. Une machine à vendre du rêve, et à faire du business, permettant à Alick Mouriesse et à sa clique de s'enrichir sur le dos des étudiants. C'est un peu triste que des enquêtes officielles n'ont pas été lancés (car les procès contre certaines personnes dont je ne citerais pas ont bien été lancés par les administrations compétentes). Mais que fait l'Education Nationale?!!!!!!!!!

J'appuie ce blog lancé par des étudiants de SUPINFO. Je suis prête personnellement à apporter mon témoignage oral en cas d'ouverture d'une enquête officielle sur cette école et certaines pratiques. Je pourrais y apporter des éléments de preuves écrites, et apporter certaines informations très graves que je ne peux dévoiler ici.

Justice (ce n'est pas mon vraie prénom, inutile de me le demander). Je ne communiquerais à travers ce blog qu'avec des officiels identifiés et par courrier postal ou téléphone (j'ai déjà écris à vos administrations respectives mais toujours pas eu de réponse).

Merci

[FIN de la citation]

Wednesday, January 20, 2010

SUPINFO et reconnaissance du diplôme par la CTI (Commission des titres ingénieurs)

Est-il utile de rapeller qu'en France, le diplôme de SUPINFO n'est pas homologué par la CTI (Commission des titres ingénieurs), et que donc le diplôme de cette école n'est aucunement un diplôme d'ingénieur?



Rappel sur le rôle et missions de la CTI:
La CTI (Commission des Titres d?Ingénieur) est un organisme indépendant, chargé par la loi française depuis 1934 d?habiliter toutes les formations d?ingénieur, de développer la qualité des formations, de promouvoir le titre et le métier d?ingénieur en France et à l?étranger.
Source

SUPINFO s'auto proclame parfois "école d'ingénieurs", mais elle n'est pas rééllement une école d'ingénieurs. La liste des vraies écoles d'ingénieur françaises peut être consultée ici sur le site de la comission des titres ingénieurs. On peut y retrouver l'EPITA, Telecom Paris, ECE etc... mais pas SUPINFO.

Une école vraie école d'ingénieurs diplôme ses étudiants avec un diplôme d'ingénieur. Les étudiants de SUPINFO par contre sortent avec un titre appelé "Titre international d'ingénierie Informatique" comme affirmé sur le site officiel de SUPINFO.
Source

Bref un certain flou existe sur cette question, et ce flou est très préjudiciable à des étudiants ou parents d'étudiants qui peuvent croire à tort, que SUPINFO délivre un diplôme d'ingénieur. Ce qui est faux.

SUPINFO n'est pas reconnue par la CTI, et ne peut donc pas délivrer un diplôme d'ingénieurs.

Tuesday, January 19, 2010

SUPINFO école d'ingénieurs? un mythe grossier

Oui le titre peut en choquer même certains étudiants de SUPINFO mal informés, mais il est le reflet de la réalité: SUPINFO n'est pas une école d'ingénieurs, et ceci est confirmé même par le site du Ministère de l'Enseignement et de la Recherche de France.

Qu'est-ce que le site du Ministère dit?

Sous l'appellation "grandes écoles" sont regroupées les écoles d'ingénieurs, les écoles normales supérieures (E.N.S.), les écoles de commerce et les écoles vétérinaires. Ces grandes écoles se caractérisent par le niveau élevé de leur diplôme (le plus souvent bac + 5) et par une forte sélection à l'entrée.

La vérité est que si un étudiant a les moyens financiers de se payer une école à plus de 5000 euros, il pourra facilement intégrer SUPINFO après son BAC. Ce n'est pas une critique, c'est la réalité, qui peut être confirmée par n'importe quel étudiant de SUPINFO. Comparer SUPINFO à une vraie école d'ingénieurs c'est comme comparer un grand restaurant à un fast food (dixit un professeur d'université - Son enquête ici).

Parlez de l'existence de "forte sélection" à l'entrée de SUPINFO, et on vous rigolera dessus. Comment voulez qu'il y est une sélection quand une école passe en quelques années de 1000 à plus de 6000 étudiants?

La réponse est le chèquier. Si tu (ou tes parents) peux payer plus de 5000 euros par année, tu pourra sûrement intégrer SUPINFO si t'a ton Bac (pas forcément un BAC S).

Extrait tiré du site du Ministère de l'Eseignement supérieur
Il existe 215 écoles d'ingénieur en France, publiques ou privées.

Voilà c'est dit. Le Ministère de l'Etat français affirme qu'il y a que 215 écoles d'ingénieurs en France. On va vous aider à trouver la liste de ces écoles. Elle est consultable sur le site de la CTI (Commission des Titres de l'Ingénieur): Liste des établissements accrédités par la CTI



SUPINFO ne figure pas sur cette liste, et pour cause, SUPINFO n'est ni une école d'ingénieur, ni reconnue par la CTI, et encore moins peut-elle prétendre délivrer le diplôme d'ingénieur.

Même Wikipédia dit clairement que SUPINFO n'est pas une école d'ingénieurs! (Source)

Monday, January 18, 2010

Quand SUPINFO se prend pour une grande école... qu'elle n'est pas

Citations tirées du site officiel de SUPINFO accessible ici.

SUPINFO est une grande école en informatique spécialisée dans la formation au métier d?ingénieurs. Cette grande école en informatique a pour vocation de former en 5 ans, après un baccalauréat scientifique, des ingénieurs de haut niveau, spécialistes des Technologies de l?Information et de la Communication (TIC) et directement opérationnels en entreprise à leur sortie de l?Ecole.

Que va penser un étudiant qui va lire celà? Il va croire à tort que SUPINFO est une grande école d'ingénieurs. Malheureusement SUPINFO n'est pas une grande école, c'est juste une école privée en informatique.

SUPINFO n'est même pas habilitée par la Comission des Titres de l'Ingénieur (CTI) à délivrer un diplôme d'ingénieur. (Voir ici).

Cette école semble entretenir un certains flou avec les termes "grande école", "métier d'ingénieur" qui risquent de tromper beaucoup d'étudiants et parents d'élèves sur le vrai diplôme délivré par cette école qui n'est pas un diplôme d'ingénieurs.

SUPINFO ose même faire croire qu'elle forme des ingénieurs diplômés. SUPINFO annonce former des "ingénieurs diplômés". (Voir capture suivante). Ceci n'est pas seulement faux, c'est de la désinformation car les seules écoles habilitées à délivrer le titre d'ingénieur diplômé sont les écoles reconnues par la CTI.



Citation tirée du site officiel de SUPINFO
La grande école en informatique SUPINFO dispose d?un programme très complet reconnu par les professionnels de l?informatique. Aussi, les ingénieurs diplômés de la grande école en informatique SUPINFO présentent des profils recherchés sur le marché du travail.

Voir aussi le nom de la page: http://www.supinfo.com/grande-ecole-informatique.html

SUPINFO est allée jusqu'à intégrer volontairement les mots "grande école" dans le lien de sa page, pour tenter de faire croire qu'elle est une grande école...



Témoignage d'un professeur d'université à ce sujet:
Tout d'abord mettons tout de suite les choses au clair, SupInfo n'est PAS un diplôme d'ingénieur (contrairement au doute que semble entretenir à dessein les dirigeants de SupInfo en appelant ses étudiants des "élèves ingénieur"), c'est un diplôme de type Master universitaire (ce qui est déjà pas mal).
Source

Sunday, January 17, 2010

Le contenu pédagogique et fichiers étudiants de SUPINFO transférés à une société belge contôlée par le président de SUPINFO...

Ce billet fait suite à une conversation entre un étudiant qui ne voit pas l'intérêt de parler d'une société belge (Educinvest) (Voir ici) créée par le président de SUPINFO à qui il est en train de transférer la quasi totalité des avoirs de l'association SUPINFO, et un autre étudiant qui comme nous se pose de sérieuses questions sur des manoeuvres qui se passent loin des projecteurs, et qui ne sont pas très claires.

Voir la conversation:


Source

Cet étudiant affirme ceci "SUPINFO est une association. C'est elle qui te délivre ton diplôme et est garante du contenu pédagogique."

Nous osons dire que cet étudiant est trop naif et/ou est très mal renseigné et/ou essai de cacher la vérité aux étudiants. Explications.

1/ SUPINFO n'est pas une association (du moins ailleurs qu'en France).

SUPINFO est une entreprise à San Francisco. Elle n'a rien d'une association. On ne peux plus dire que SUPINFO est une association sans préciser dans quel pays.

D'ailleurs sur le site officiel de SUPINFO il est précisé que SUPINFO est une association en France, mais ils omettent de préciser le statut de SUPINFO dans les autres campus à travers le monde.

2/ SUPINFO n'est même plus propriétaire de sa propre marque "Supinfo" !

Premier point: la marque internationale "Supinfo" a été enregsitrée à l'INPI au nom de la société belge "Educinvest" dirigée par Alick Mouriesse. Ce qui veut dire que l'association SUPINFO ne contrôle même pas sa propre marque...

Deuxième point: Cet étudiant affirme que SUPINFO est "garante du contenu pédagogique".

Comment SUPINFO peut être garante de quelque chose qui ne lui appartient même plus?!! Les "contenus pédagogiques" de l'école, ainsi que les "fichiers des étudiants" ont été transférés à la société belge Educinvest créée par Alick Mouriesse! (Voir capture suivante ou le document notarié officiel consultable ici).



L'association SUPINFO est en train d'être dépossédée de tous ses avoirs immatériels qui sont en mode transfert vers la société belge contrôlée par Alick Mouriesse.

Comment une association française à but non lucratif peut être dépossédée de ses avoirs au profit d'une société étrangère basée en Belgique Spécialement parce que le président de cette association est le propriétaire de cette société étrangère.

Nous exigons des explications très claires.